Au moment où je t’écris, je suis dans une classe pleine d’adolescents qui écrivent des histoires courtes, alors qu’ils se préparent à leur examen. Comment nous en sommes arrivés ici? C’est mon témoignage. Mon histoire n’est pas extraordinaire, mais elle donne un contexte. Au lycée, j'étais le gamin qui faisait partie de tous les clubs et de toutes les équipes. À vrai dire, j'ai passé plus de temps à faire des activités parascolaires qu'à de véritables activités scolaires - et j'en ai aimé chaque seconde. À la fin du lycée, je n’étais pas triste. J'ai célébré la fin de quelque chose d'extraordinaire pour moi. Je suis parti à l'université, me préparant à un nouveau monde et à de nouveaux défis. Je suis entré pour étudier l'histoire et l'anglais, afin qu’un jour, que je puisse devenir professeur. Et au moment où j'écris ceci, je peux dire que j'ai plutôt bien réussi, car je prévois d'obtenir mon diplôme au printemps (un autre témoignage, j'en suis sûr). J'ai eu un travail parallèle dans une garderie avec ma mère. Après trois ans de travail là-bas et de tournées, j'ai commencé à penser à partir. Il est temps pour un nouveau voyage, me suis-je dit. Et voilà, le directeur de l'école affiliée à la garderie avait un besoin urgent de quelqu'un pour remplacer un enseignant: j'ai donc été appelé. J'ai bien réussi, travaillant presque à plein temps en tant que suppléant pendant un mois; J'ai aimé chaque seconde. Mais le Père avait plus pour moi. Une des enseignantes avec qui j'ai travaillé un jour est venue me voir et m'a dit qu'il y avait une ouverture dans mon ancien lycée, car son mari était le nouveau directeur/principal adjoint. J'espérais l'obtenir, mais je savais que c'était loin car je n'avais pas - et je n'ai toujours pas, pourrais-je ajouter - mon baccalauréat (équivalent français de ma licence). Mais me voici, en train de te parler depuis cette chaise confortable, te disant ce que le Père a fait pour moi. Tu pourrais tirer de mon témoignage le concept de toujours bien travailler et ce ne serait pas faux, mais ce serait surtout de tout faire pour Lui. Même si tu ne travailles pas dans l'église, imagine que tout ce que tu fais est fait pour le Père, Son Fils et Ses plans. Et ne doute pas de ces capacités, ou des capacités qu’Il t’a données. Je vais te laisser avec un chant car tout ce que je veux faire pour l’instant, c’est chanter - même si je suis dans une salle de classe remplie d’élèves qui essaient d’écrire. Voici « Sound of the Saints » par Audio Adrenaline: chantons et louons-Le avec tout ce que nous avons! Que le Père te bénisse, Eli
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En janvier, j’ai décidé que la phrase “Laisse Dieu être Dieu” serait celle qui définirait toute l’année 2020. Je voulais entrer dans cette année sans compter sur mes propres forces, mais en comptant sur le Fils de Dieu qui m’aime et qui S’est donné pour moi (Galates 2:20).
La prochaine phrase que j’aimerais écrire est “et COVID est arrivée”, mais à vrai dire, même si cela m’a un peu impactée, COVID n’a pas tant changé ma vie. En tout cas, pas au début ou de manière évidente. J’ai cherché un travail pendant des mois au début de l’année et j’ai eu de nombreux entretiens qui n’ont mené nulle part. Un de ces entretiens était pour un travail pour lequel j’étais sûre que Dieu me voulait. C’en était un qui combine la foi et les médias, un domaine dans lequel je sens que j’ai été appelée, ou je pensais que je pourrais commencer une carrière. Quelques semaines après l’entretien, j’ai reçu la nouvelle : Je n’ai pas eu le poste. Pas de problèmes, j’y étais habituée à ce stade-là. Ainsi va la vie, avec des larmes et de la frustration, et moi, je baissais les bras en reprenant courage tout aussi vite car évidemment j’ai besoin d’argent. Après quelques mois dans cette routine, j’ai eu un travail, au travers d’événements que je ne peux décrire que comme étant la faveur de Dieu. J’ai été recommandée par quelqu’un qui me connait, c’est lié à ce mélange entre foi et médias pour lequel je me sens appelée et j’ai eu une des plus belles expériences professionnelles jusqu’à présent. Mais ce qui m’a permis de penser que “oui, Dieu est vraiment impliqué”, c’est le fait que ce poste a failli ne jamais exister. Voici l’histoire : L’organisation pour laquelle je travaille est capable de me payer grâce à une subvention de la part d’une plus grosse organisation qui finance plusieurs poste dans la région de Toronto chaque été. Un jour, pendant une réunion avec mon patron et une employée de cette organisation et mon patron commence à la remercier pour son support en lui disant “ Je suis tellement heureux que vous ayez décidé de nous donner les fonds, je sais que vous étiez partis pour ne pas le faire”. À cela elle a répondu “vous saviez que ce poste est le seul que nous avons décidé de financer cette année?”. Et dans ma tête je me dis ‘quoi?’, pendant qu’elle commence à nous raconter qu’ils ont décidé de ne subventionner aucun autre poste cette année parce que… COVID. Cependant, elle a fréquemment lu les newsletters de mon patron qui explique le travail qu’il fait et y croit vraiment. Alors, elle en a apporté une à son supérieur et lui a dit “si nous ne finançons personne cette année, nous devons au moins financer ces personnes. Sinon, que faisons-nous?”. Son patron lui a répondu “Oui, d’accord, faisons-le” et à cause de cela j’ai eu un travail cet été. Un travail qui me permet d’exploiter ce que Dieu a placé sur mon coeur, qui me rappelle qui Il est et qui ne ressemble même pas à du travail pour moi. Si ça n’était pas déjà suffisant, j’ai aussi découvert que le travail pour lequel j’ai eu un entretien a fini par être supprimé parce que… COVID et le travail que j’ai aujourd’hui existe parce que l’organisation pour laquelle je travaille a réalisé qu’elle avait besoin d’une plus gross présence sur internet. Comment en sont-ils arrivés à cette conclusion? COVID. Ce n’est pas un de ces messages du type “Dieu abaissera tes ennemis et t'élèvera”, c’est un rappel, pour toi ainsi que pour moi. J’ai passé énormément de temps l’an dernier et cette année à m’inquiéter à propos de nombreuses choses, et jusqu’à présent, 2020 a bouleversé beaucoup d’entre nous ; mais dans mon essoufflement, Dieu m’a enseigné, au travers de plusieurs situations, à Lui faire suffisamment confiance pour Lui soumettre ma vie et vivre au travers de Jésus : l’Être Parfait qui m’aime. Tu peux Lui faire confiance parce qu’Il t’aime. Donc c’est mon message ici. Vis en Jésus et laisse Dieu être Dieu. Seun Salut à tous!
Je m’appelle Emi et je suis en ce moment en troisième année de ma licence en théologie (ma majeure- ou champ d’étude principal- est dans la jeunesse). Je suis tellement reconnaissante d’avoir cette opportunité et cette plateforme pour partager mon témoignage ! Je ne vais pas t’ennuyer avec les détails verbeux de ma croissance dans la foi chrétienne en allant à l’église deux fois par semaine. Nan. Au lieu de cela, voici une version très abrégée: Même si j’ai grandi en allant à l’église, j’ai un héritage dans la foi assez court (même si incroyable). Mes parents sont devenus chrétiens en 1990, après qu’un de leurs amis leur aie partagé son histoire de conversion quittant le satanisme après avoir rencontré la grâce salvatrice de Jésus. J’aime penser au fait que la raison pour laquelle ma famille et moi sommes chrétiens est parce que Jésus S’est révélé à mes parents au travers d’un ex-sataniste qui était courageux enough pour partager son témoignage. Je suis tellement reconnaissante que Dieu ait eu ce plan pour ma famille et moi ! J’ai traversé beaucoup de hautes et bas dans ma vie, avec beaucoup d’entre eux ayant une chose en commun : ma foi. On m’a fait de terribles choses au nom de la Bible, et j’ai rencontré de nombreuses situations difficiles car j’étais chrétienne. En théorie, j’ai beaucoup de raisons intellectuelles et émotionnelles de me détourner de ma foi chrétienne. Alors, pourquoi ne l’ai-je pas fait? Parce que je sais que l’amour de Jésus pour moi, et l’entièreté de qui Dieu est, excède de loin ma propre (et celle de tout le monde dans ma vie) interprétation de la foi, de l’Écriture et de qui Dieu est. Je sais que Dieu est au dessus de ce que je sais ou crois de Lui. Je sais que la personne de Dieu, Son pouvoir et ses capacités sont bien plus grands que ce que je ne pourrai jamais imaginer. Jésus, dans toute Sa radicalité et dans le parfait accomplissement de l’amour de Dieu, Son salut et Son amour pour le monde entier n’est vu nulle part ailleurs que dans la Bible et dans le travail du Saint Esprit. Je ne me suis pas détournée de ma foi chrétienne, même si on m’a donné tant de raisons pour le faire, car j’ai senti une paix dans mes troubles qui est inexplicable. J’ai été aimée comme aucun être humain, divinité ou fiction de mon imagination ne pourrait m’aimer. Il a pris soin de moi, vue et cherchée passionnément comme personne d’autre n’aurait pu. Ça a été, et sera pour toujours, Jésus. Le trouble auquel j’ai fait face à cause de ma foi pâlit en comparaison à l’amour que j’ai expérimenté à cause de ma foi. La douleur que j’ai sentie “au nom de la Bible” pâlit en comparaison à l’amour et la gentillesse que j’ai vus et reçus au nom de Jésus. Le pouvoir transformateur du Saint Esprit dans ma vie et dans la vie des personnes qui m’entourent l’emporte de loin sur des actes de théologie malavisée. La lumière l’emporte de loin les ténèbres. Quelque acte de ténèbres fait au nom de Dieu n’est pas de Dieu, car en Dieu il n’y a pas de ténèbres (Matthieu 5:14-16) ; 1 Jean 1:5). Dans tes moments les plus sombres, j’espère que tu te rappelleras que Dieu est, et sera toujours, amour (1 Jean 4:7-21) Merci de tout coeur pour ta lecture! Tu peux me trouver à: http://emihabel.om https://www.instagram.com/emi_habel/ Pendant très longtemps, mon plus grand désir était d’être “suffisante”, de me savoir remarquée et de savoir que j’étais aimée (question de sécurité et de validation). J’avais l’impression que la seule manière de recevoir tout cela était d’être parfaite. Je n’avais pas le droit à l’erreur. Je pensais que mes efforts pouvaient me permettre de mériter l’amour, la validation et/ou l’approbation que désirais désespérément. Je pensais que si je faisais les bonnes choses je pourrais remplir le vide que je ressentais. J’étais terrifiée à l’idée de perdre l’approbation de ma famille et de mes amis, ou de ne pas être aimée par les gens présents dans ma vie. J’ai travaillé dur pour maintenir l’apparence d’être suffisamment bonne, je ne voulais pas que les gens voient ma fragilité. Pour être honnête, je ne voulais pas la voir moi-même.
Je pense que bien plus d’une fois, j’ai pris l’approbation des autres pour celle que Dieu avait de moi. Je pensais que si les gens m’appuyaient pour les bonnes choses que je faisais, alors Dieu le ferait aussi. J’avais peur de la condamnation et de faire des erreurs. Mais, après un moment, la tentative d’être parfaite m’a trouvée fatiguée et insatisfaite, drainée et vide. Je pense qu’à la fin, cela m’a menée au péché et loin de Dieu plutôt que plus proche de Lui. Je me sentais simplement brisée. Ma poursuite de perfection et d’approbation m’ont simplement rendue consciente de mon manque et mon besoin de véritablement l’amour de mon Sauveur. Je savais que mes désirs de devenir parfaite ne m’ont pas faite complète, je savais que j’avais juste besoin de soumettre mes blessures à Dieu. J’avais besoin de croire que Sa grâce pourrait tout couvrir. J’avais aussi besoin d’apprendre ce que cela veut dire que Sa puissance est faite parfait dans ma faiblesse. J’ai commencé à soumettre ma vie à Jésus d’une nouvelle manière. J’ai réalisé que Dieu n’était pas une autorité effrayante à qui je devais plaire. Au contraire, Il est quelqu’un avec qui je peux expérimenter une véritable relation, malgré mes défauts et mes imperfections, Il m’a approuvée. C’est la seule chose qui m’importe. Il m’a approuvée et aimée, malgré le fait que je ne pourrais jamais être parfaite. Sa perfection a couvert mon imperfection. Avoir choisi de connaître Dieu véritablement m’a permis de voir Son caractère. J’ai réalisé que toutes les choses que je recherchais ailleurs, être vue, connues et approuvée, se trouvaient en Lui. Il a rempli le trou que j’essayais de remplir avec mes propres forces et mes actions. Maintenant, je n’ai plus à aspirer à quoi que ce soit quand je demeure en Lui. Maintenant, je n’ai plus besoin de questionner ma valeur. Maintenant, je sais que je suis aimée. Je suis Sa fille et c’est plus que suffisant. Coucou 😊
Aujourd’hui j’avais à cœur de partager avec toi la manière dont Dieu m’a guérie d’une maladie dont on ne guérit normalement pas 😉 Lorsque j’avais 12 ans, comme beaucoup de filles à cet âge, j’ai commencé à avoir mes règles. Jusque là rien de très anormal. Seulement j’étais suivie de très près par mon médecin car ma mère ainsi que la grand-mère avaient chacune eut des soucis d’endométriose. Cette maladie est assez mal connue même si on en parle de plus en plus mais il semblerait que la génétique rentre en compte pour le diagnostic. J’ai donc été suivie dès le début de ma puberté afin de pouvoir anticiper d’éventuels problèmes. Dès le début, j’ai eu des douleurs assez intenses mais qui passaient lorsque je prenais un anti-douleur « classique ». Au fil des mois les douleurs augmentaient. J’ai donc été contrainte de prendre la pilule alors que je n’avais pas encore 14 ans. C’est le seul « traitement » connu pour cette maladie. Seulement ce « traitement » ne s’est pas montré efficace pour moi. A l’époque j’était en 3ème, c’était donc ma dernière année de collège et j’étais souvent absente à cause de mes douleurs qui me clouaient au lit. J’allais aux urgences presque tous les mois tellement j’avais mal. Ma gynécologue a fini par nous proposer de m’opérer l’année de mes 15 ans pour voir exactement ce qui se passait dans mon ventre. Après l’opération, on a déterminé que j’étais à un stade avancé de la maladie, stade anormal pour mon âge et que donc je serai très certainement stérile. Lorsque je suis rentrée en 1ère (11ème année dans le système anglophone), j’étais toujours malade et les choses empiraient. Je ratais de plus en plus de cours, aucun médicament ne soulageait la douleur et je continuais à aller régulièrement aux urgences. Dans tout cela, je ne voulais pas accepter que j’étais réellement malade, pour moi c’était normal d’avoir mal comme ça, je n’avais pas le choix. Ma mère, qui est chrétienne et très engagée dans notre église, demandait à l’église de prier pour moi. A ce moment je pensais juste que ma maladie était une sorte de punition pour tout le temps que j’avais passé loin de Dieu, à faire ma vie comme bon me semblait sans le soucier de ce qu’Il voulait pour moi et sans même Lui laisser une quelconque place. A la fin de mon année de première, j’avais 5 de moyenne générale (sur 20, donc l'équivalent de 25/100), je devais redoubler mais mon professeur principal a décidé de me faire passer quand même dans la classe supérieure car malgré mes résultats très bas je n’avais pas baissé les bras tout au long de l’année et j’avais fait preuve de bonne volonté. Pendant les vacances d’été entre mon année de première et celle de terminale, je suis partie en camp chrétien. C’était un camp réservé aux majeurs, j’allais sur mes 17 ans donc normalement je n’étais pas autorisée à y participer mais mon pasteur de jeunesse de l’époque connaissait un des organisateurs et j’ai donc pu m’y rendre avec une amie. Le deuxième soir, pendant la réunion, il y a eu un appel où les pasteurs nous proposaient de nous avancer hors des rangs pour qu’ils puissent prier pour nous. Je me suis avancée, ne sachant pas vraiment pourquoi j’avais besoin de prière. Lorsque le pasteur m’a demandé quel était mon problème je lui ai répondu que j’étais malade. Il a alors prié pour que je guérisse et à ce moment là j’ai senti comme une grande chaleur envahir tout mon corps et l’impression que quelque chose de mauvais sortait de mon corps. En sortant de la salle de réunion j’ai couru sur quelques mètres, chose que je ne pouvais pas faire sans ressentir une douleur atroce au niveau du ventre en temps normal. Mais à ce moment, là je n’ai ressenti aucune douleur, aucune gêne. J’ai su que j’étais guérie à ce moment précis. Depuis je n’ai plus de douleur, je ne suis pas retournée une seule fois aux urgences et le moment de mes règles n’est plus un problème dans ma vie quotidienne. Dieu fait de grandes choses, c’est une maladie incurable, même mon médecin traitant n’en revient pas. Elle ne comprend pas comment je peux vivre aussi bien sans aucun traitement. Ma seule réponse c’est : Jésus m’a guérie ! Et Il peut le faire pour toi aussi, quelque soit ta maladie, ta douleur, ta pathologie, Jésus guérit ! Il est aussi mort pour ça. Esaïe 53 :5 « Mais lui il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes : la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et c’est par ses blessures que nous sommes guéris » Sois béni(e) Mes parents ont été dans l’église depuis bien avant ma naissance. J’ai grandi dans cet environnement. L’église était, et est toujours, ma famille. Voir des gens être délivrés et recevoir des dons de la part du Seigneur, j’y étais insensible. Donc, ma rencontre avec Christ ne s’est pas passée suite à une telle expérience : elle s’est déroulée au travers de la logique.
À l’âge de treize ans, j’ai voulu donner ma vie à Christ parce que je ne voulais pas mourir avant de le la Lui avoir donnée. Je voulais le rencontrer et le comprendre. Alors, j’ai lu la Bible. Elle prit sens pour moi. Je me suis fait baptiser peu de temps après. Ce qui a confirmé cette expérience est la perte d’un document important. Je ne voulais vraiment pas que mes parents découvrent ce que j’avais fait. Alors j’ai prié, prié sans arrêt, et pendant des heures. J’ai fait une pause afin de me rafraîchir avant de dîner. C’est quand j’ai arrêté de parler que je L’ai entendu me dire “Psaume 62”. Un Psaume qui parle de Dieu comme étant présent avec moi et étant mon Rocher. J’ai fini par retrouver le document le soir-même, après m’être calmé et réjoui dans le fait que Le Seigneur m’avait parlé. L’objectif de mon témoignage est court: laisse Dieu te parler. Cherche-Le sans arrêt. Oublie tout ce que tu as toujours su et écoute-Le, car Il va te parler et te montrer Son amour. Tout ce que tu dois faire, c’est être attentif au moment venu. Eli |
AuteursSo What Now?, c'est une équipe, mais ce département est le vôtre! N'hésitez pas à nous partager un témoignage par email. Vous le verrez peut-être posté dans ces lignes plus tard. Cela peut être anonyme si vous le voulez. Archives
November 2021
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