L’article qui parlait de l’obéissance m’a beaucoup parlé, c’est pour ça que j’en rajoute un peu ! L’obéissance fait partie du quotidien de notre marche avec Dieu, de ce qui la motive. Alors, à ce sujet, je te propose de t’ouvrir mon cœur au sujet d’une expérience très récente :
J’ai fait l’un des plus grands sauts de ma vie en Août 2018 : j’ai déménagé de ma ville de naissance. Ça veut dire quitter une partie de la famille proche, les amis avec qui on a grandi, ceux que l’on a rencontrés en cours de route… en bref, un bon petit bout de monde ! En plus, il ne s’agissait pas seulement d’une nouvelle ville, mais aussi d’un nouveau pays et d’un nouveau continent ! Je savais que ce départ était la volonté de Dieu. Il a tout orchestré de manière parfaite, dans les moindres détails. J’avais trouvé une école, et je savais que c’était là qu’Il me voulait. Il me restait le plus important pour moi : trouver une église. Alors, avant mon départ, et même avant d’avoir mon billet d’avion, j’ai pris un moment avec Dieu. Je me suis enfermée toute seule dans ma chambre et j’ai sincèrement exposé à Dieu ce que j’avais sur le cœur :
Le lendemain, à l’église, le pasteur annonçait mon départ, ainsi que celui d’autres personnes. Il a appelé des anciens qui ont prié pour nous, et je me rappellerai de cette phrase que l’un d’entre eux a prononcée en s’adressant à Dieu : « Seigneur, fais que là où ils vont, ils Te servent comme ils T’ont servi ici ». Le choc ! J’ai très sincèrement pris ça pour une réponse concrète de Dieu. Le soir même, j’avais mon billet : je partais une semaine plus tard !
J’ai commencé ma sélection d’églises, en faisant mes recherches sur internet. J’avais déjà pu en visiter une moi-même en 2017, et à cause de certaines raisons très personnelles, je ne voulais pas y retourner. Malgré cela, mes recherches et mes temps de prière me poussaient à y retourner. Un mois après mon arrivée, j’avais visité et revisité plusieurs églises, j’étais retournée dans une qui me faisait penser à celle que je venais de quitter en France. Mais malgré tout, je savais pertinemment où Dieu me voulait : là où je n’avais aucune intention d’aller, mais également le seul endroit où toutes les conditions que j’avais présentées devant Dieu étaient réunies. Une de mes amies d’enfance m’a comparée à Jonas quand elle s’est rendue compte à quel point je suis têtue ! J’étais quand même déterminée à obéir à Dieu, malgré mes incompréhensions et j’ai fait ce choix qui a eu des répercussions dans pareil sur ma vie jusqu’à présent ! Cela a commencé avec une joie incommensurable qui m’a remplie pendant au moins 3 semaines ! Je n’ai pas vraiment compris d’où elle venait pendant un moment. Puis, un jour lors d’une étude biblique sur le Fruit de l’Esprit (Galates 5:22), nous avons parlé de la joie qui vient de Dieu. Et le pasteur a listé de tout ce qui peut engendrer une telle joie dans nos cœur, et il a mentionné que l’obéissance à Dieu en faisait partie. J’ai également réalisé que tout ce dont j’avais besoin, et même des réponses à des prières plus anciennes, se trouvait dans l’église où Dieu m’a dirigée pendant un peu plus d’un mois. Le problème s’est à nouveau posé quand j’ai voulu servir à l’église. J’avais déjà choisi certains domaines où je voulais m’investir à cause des habitudes que j’avais prises avant et un autre en particulier que je voulais absolument éviter parce que j’ai souvent cette impression d’être envahissante (surtout quand la majorité des personnes que je rencontre sont dans un de ces services concernés). Mais encore une fois, j’ai tout mis en prières. C’est un engagement que j’ai pris en partant : que mes décisions soient celles que Dieu veut pour ma vie. Alors, au fil du temps, mes raisonnements ont changé, et comme me l’a dit une amie très récemment, j’ai fini par laisser « Dieu faire de moi ce qu’Il voulait ». Il s’avère que plusieurs rencontres au sein de l’église m’ont poussée à demander à participer au sein de l’équipe de louange alors que c’était le domaine que je voulais absolument éviter. J’ai chanté pour la première fois ce dimanche 20 Janvier, et sincèrement, j’ai ressenti une paix inexplicable, et cette même joie dont je parlais plus haut. J’avais l’impression d’avoir Dieu qui se réjouissait à mes côtés de ce qui je Lui obéisse, et j’étais ravie qu’Il soit là, juste à côté de moi. Tout ça pour te dire qu’obéir à Dieu peut coûter beaucoup à notre propre volonté. Mais à la fin, lorsque tu la places entre les mains de Dieu, il n’y a pas de plus grand bonheur. Alors, sincèrement, aujourd’hui tu as la possibilité d’obéir ou pas à la volonté de Dieu pour toi. Je ne peux pas te promettre que toute ta vie se déroulera comme les expériences dont je t’ai parlé. Je ne peux pas t’assurer que ce sera toujours facile, il faudra souvent mettre ta propre volonté de côté pour laisser celle du Père se manifester pleinement dans ta vie. Mais c’est pour le meilleur ! Mes expériences sont très personnelles, par rapport à ma sensibilité et à mon caractère. Mais je ne crois pas que tu pourras ressentir de la tristesse à chercher ce que Dieu veut pour ta vie, et à y obéir. Cela te permet d’être plus humble, et de laisser plus de place à Dieu, afin qu’Il croisse et que nous diminuions. Je te souhaite une merveilleuse semaine, Que Dieu te guide Do ? P.S: voici un chant qui m'a beaucoup parlé, j'aurais aimé qu'il sorte plus tôt, cela m'aurait évité certains de ces combats. Je te mets la traduction dans un autre post si besoin.
https://www.youtube.com/watch?v=1Ko4yroBP0A
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Je me suis très souvent retrouvée apeurée, sentie submergée par la peur. Je crois qu’on connaît ce sentiment depuis notre enfance. Tout le monde peut avoir peur ! Certaines peurs sont complètement irrationnelles, comme la peur des araignées, ou avec une faible probabilité qu’un événement se produise, comme l’effondrement d’un pont ou d’un tunnel quand on l’utilise. Je pense que pour s’en débarrasser il faut simplement y faire face. Cependant, il y a une crainte et une peur dont la Bible parle. Elles peuvent sembler avoir le même sens, mais en sont en fait opposées. La première est bonne, et tu devrais la ressentir et laisser grandir de plus en plus. L’autre est clairement à vaincre. Il y a d’abord la crainte de Dieu. Elle ne veut en aucun cas dire que tu dois avoir peur de Lui, car quand tu Lui donnes ta vie, acceptant la mort de Jésus sur la Croix, et sa résurrection, et que tu choisis de lui obéir, Jésus t’appelle Son ami(e) (Luc 12:4 ; Jean 15:14-15). Et tu ne peux pas avoir peur de ton Ami. Il s’agit plutôt de respecter Dieu à cause de Sa grandeur, Sa sainteté, Sa perfection et de Sa magnificence. Il s’agit de réaliser qu’on ne devrait pas avoir le droit de nous tenir dans la présence de Dieu, que notre vie, notre nature humaine était censée nous séparer de Dieu. C’est aussi le profond respect que nous devons à Dieu, le respect face à Son pouvoir et Sa colère. C’est connaître complètement qui Il est et Sa nature. C’est L’honorer, L’élever au dessus de nos préoccupations. Elle peut aussi être liée au fait que tu veux obéir à Dieu, cherchant à discerner Sa volonté de la tienne. Il y a ensuite la peur des circonstances de la vie. Le Dictionnaire Cambridge la définit comme une « émotion déplaisante ou pensée que l’on a quand on est effrayé ou inquiété par quelque chose de dangereux, douloureux, ou mauvais qui est en train de se dérouler ou qui pourrait arriver ». C’est à la fois cette peur dont je parlais plus tôt à propos de l’effondrement de ce pont, mais aussi des situations. Par exemple, ayant peur pour sa vie, Jacob s’enfuit devant Esaü, son frère, après lui avoir volé son droit d’aînesse et sa bénédiction (Genèse 25:29-34 & 26:34-27:44). Quand il quitta Laban pour retourner sur les terres de son père, comme Dieu le lui avait demandé, il envoya des messagers pour parler à Esaü afin de « trouver grâce à [ses] yeux » (Genèse 32:5). Ils revinrent le voir, lui expliquant qu’Esaü venait à sa rencontre avec 400 hommes. Encore une fois, son âme et son esprit se remplirent de peur. Il organisa même un convoi pour « l’apaiser » avant qu’ils ne se rencontrent (Genèse 32:7-21). Bien sûr, Dieu le protégea, comme Il le lui avait promis. En fait, Jacob avait peur que quoi que ce soit puisse lui arriver, ce qui pourrait se comprendre, au vu de la manière dont ils se sont séparés. Cependant, Dieu lui avait promis d’être avec lui (Genèse 31:3). Ce que je veux dire, c’est que si tu sais que tu obéis à Dieu, que tu suis Sa Parole (la Bible), tu n’es pas censé être effrayé des circonstances. En effet, Esaïe 41:10 dit
Fin 2017, je faisais face à différents défis, dont je te parlerai peut-être plus tard (j’espère qu’un jour j’aurai le temps de te partager mon histoire 😉). J’étais inquiète à propos de mon orientation (oui, il semble que ce soit le moment haha) parce que mes études n’allaient pas dans le sens où je voulais qu’elles aillent, même si je savais où Dieu me voulait, j’avais vraiment l’impression que tout était contradictoire. Pour différentes raisons, j’avais besoin d’argent et de plus de temps dans ma journée et tout ce stress avait des répercussions sur ma santé et sur mon corps, mes muscles étaient complètement tendus et rien ne pouvait m’aider à les détendre. Quelques jours après Noël, j’ai rencontré une amie et toute sa famille. On a eu un tout petit moment entre nous, et je lui ai parlé de mes doutes et du fait que je n’étais sûre de rien. Elle a très vite compris à quel point j’étais inquiète et apeurée du fait que les choses ne se passent pas comme je l’espérais. Elle m’a aidée à me calmer et m’a dit quelque chose que je ne pourrai jamais oublier : « Ne crains pas ». Ensuite, elle a ajouté que Dieu, au travers de la Bible, nous dit 365 fois de ne pas nous inquiéter. Et, comme elle l’a souligné, je ne crois pas que ce soit une coïncidence. Si tu fais confiance à Dieu et que tu Lui as donné ta vie, tu n’as pas à t’inquiéter.
Pour finir l’histoire, sache que le soir même, je suis rentrée chez moi, et j’ai demandé à Dieu de prendre tous mes fardeaux, toutes mes peurs, parce qu’Il ne voulait (et ne veut toujours pas) que j’aie peur. Et voilà pourquoi : je crois en Lui, je Lui ai donné ma confiance. Je me suis réveillée le lendemain matin avec un esprit en paix et des douleurs ayant complètement disparu. Aujourd’hui, l’ensemble du problème est résolu, j’ai du temps libre, et aussi longtemps que je dépense mon argent avec sagesse, je ne me retrouve pas dans le besoin. Je pense que c’est mon mot pour toi aujourd’hui, mon conseil. Et certainement un des meilleurs que je pourrais te donner (normal, il est tiré de la Bible !) : si tu crois en Dieu, ne t’inquiète pas, peu importe la situation à laquelle tu fais face. L’article de la semaine dernière finissait disant que « Dieu t’aime TOI comme si tu étais le seul être humain sur la terre », et ça, c’est la raison pour laquelle tu ne dois pas avoir peur ! Je crois que je ne le répéterai jamais assez, je ne dis pas que la vie sera toujours simple, mais je dis qu’avec Dieu comme guide et appui, je sais quelle sera la finalité ! Que le Seigneur te bénisse, Do 😊 P.S : Je me suis librement inspirée de https://www.gotquestions.org/Francais/peur-Bible.html pour la définition des peurs. Tu pourras y trouver d’autres choses que je n’ai pas écrites Un terme que l'on entend tous depuis notre plus jeune âge, surtout de nos parents: "sois sage hein, tu obéis si on te dit quelque chose !". L'obéissance est une attitude qui nous accompagne tout au long de notre existence et dans la plupart des domaines de notre vie. Faire preuve d'obéissance nous demande parfois beaucoup d'efforts. Pour un jeune enfant par exemple, lorsqu'on lui interdit de manger le bonbon qui est sur la table, il est évident que l'obéissance a cette interdiction va lui coûter beaucoup. Cependant, s'il désobéit, il prend le risque d'être réprimandé mais aussi de décevoir ses parents et donc de culpabiliser. Parfois obéir à Dieu nous paraît très coûteux et semble engendrer trop de sacrifices. Prenons le cas d'Abraham, au début de son histoire (dans Genèse 12 du verset 1 au verset 5), Dieu lui demande de tout quitter, de laisser tout ce qu'il a, son confort, sa vie, probablement son travail etc., de partir dans un pays qu'Il lui montrera plus tard et de ne pas s'inquiéter. Il lui fait aussi une promesse, celle de le bénir, de lui assurer une descendance et de faire de lui une source de bénédictions. Et Abraham obéit, parce qu'il regarde à la promesse et non à son sacrifice. Plus tard, Abraham a eu un fils nommé Isaac (Genèse 22) et Dieu lui demande de lui sacrifier Isaac, qu'il a eu tant de mal à avoir. Encore une fois Abraham obéit parce qu'il garde à l'esprit la promesse de Dieu et qu'il ne se focalise pas sur ce qu'il perd. Bien souvent lorsque Dieu nous demande de faire quelque chose qui va à l'encontre de nos désirs profonds comme par exemple, couper une relation nocive, sortir de notre zone de confort, changer des habitudes etc., nous regardons à ce que nous allons potentiellement perdre et non à ce que Lui nous promet pour la suite. Le premier acte d'obéissance que Christ nous demande lorsque nous le rencontrons c'est de le reconnaître comme Seigneur et Sauveur et de lui abandonner l'entièreté de notre vie. C'est probablement l'acte le plus difficile puisqu'il implique que nous ne vivons plus pour nous de manière égoïste mais pour Lui. Une fois ce choix fait. Dieu nous demande d'obéir parfaitement à sa Parole (la Bible). Évidemment nous ne sommes pas parfaits et donc il nous arrive de nous "rater", donc de désobéir. Dieu nous pardonne toujours nos "ratages" si nous nous repentons sincèrement. Toutefois, il nous faut avoir conscience que nous ne devons pas nous maintenir dans la désobéissance ou nous dire "ce n'est pas grave, je le fais et je demanderai pardon à Dieu après". La Bible dit que "l'obéissance vaut mieux que les sacrifices" (1 Samuel 15:22).
Notre désobéissance nous éloigne de Dieu et donc de ses promesses et bénédictions. Nous perdons souvent beaucoup de temps et souffrons inutilement à cause de notre manque d'obéissance. Souvenons nous que bien souvent, ce que nous gagnons est plus grand que ce que nous perdons. Dieu fait toujours les choses pour notre bien. Il nous aime et nous connaît parfaitement. Maintenant j'aimerais laisser sur ton cœur quelques questions: Dans quels domaines de ta vie as-tu du mal à obéir ? Pourquoi plus dans ces domaines la que dans les autres ? Jusqu'où es-tu prêt(e) à obéir à Dieu ? Je souhaiterais pour finir, partager avec toi une petite expérience que j'ai vécue: Pendant l'année de mon Bac j'ai du choisir une orientation et j'ai décidé que je voulais absolument partir faire mes études loin de ma ville de naissance. Alors j'ai cherché des formations qui étaient en adéquation avec mes centres d'intérêts et qui n'existaient pas dans ma région. J'en ai trouvé une à 250 km de chez moi mais à aucun moment dans ces recherches je n'ai demandé à Dieu ce que Lui voulait pour ma vie. J'ai persisté dans cette formation malgré le fait que je m'y sentais très mal et absolument pas à ma place. J'étais très angoissée, je ne dormais plus, menais une vie totalement incohérente, j'allais vraiment mal. J'ai fini par rentrer en plein milieu de l'année scolaire tellement j'étais en échec. En rentrant j'ai remis ma vie en règle avec Dieu mais ces 8 mois loin de Lui m'ont clairement beaucoup abîmée et m'ont surtout appris qu'on a beaucoup à perdre en désobéissant délibérément à Dieu. Je le répète, Il te connaît parfaitement et Il t'aime, TOI, comme si tu étais le seul être vivant dans toute la galaxie. Sois béni(e) #👣 La fin de l'année est une période assez animée pour beaucoup de monde : c'est le moment de retrouver toute la famille autour d'une table remplie d'énormes repas et de passer des moments mémorables avec elle. C'est aussi le moment de préparer le Nouvel An avec nos amis. En tout cas, c'est ce à quoi ma fin d'année ressemble habituellement ! De là d'où je viens, on pourrait définir le repas de Noël comme le concours de mode familial de l'année ! On se réjouit aussi de la merveilleuse année qu'on a passée, de toutes les batailles que nous avons combattues, et gagnées😉, de ces nouvelles amitiés. Pour faire simple, disons simplement que se réunir autour de cette table est le moment pour célébrer la fin de l'année que nous avons traversée. Le Nouvel An est aussi très sympa. Avec notre famille et nos amis, on célèbre les nouveaux commencements, les nouveaux projets, et on apprend des expériences de l'an dernier. On a ces nouvelles résolutions qu'on veut vraiment tenir jusqu'à la fin de cette même année. Mais, après ces célébrations, à la fin de l'année et au début d'une nouvelle année, la routine quotidienne se réinstalle souvent. On apprécie ces moments, même si en eux-mêmes, ils sont juste une parenthèse, une fois par an. Peut-être que tu vis avec ta famille, peut-être te vis-tu seul(e), peut-être es-tu avec des amis. Mais dans tous ces cas, il s'avère que personne ne peut nous donner l'amour dont on a véritablement besoin, quand on en a besoin. Même entouré(e) de tous ces gens, tu peux sentir que tu es seul(e), tu penses peut-être que personne ne peut comprendre ta douleur, ni la situation ou le problème auxquels tu peux faire face. Et même s'ils le peuvent, ils ne peuvent pas t'aider à te sentir en paix face à cela. C'est comme cela que je vivais, c'est ce que je sentais. Cependant, j'ai appris il y a quelques années que JE SUIS AIMÉE ! D'un amour inconditionnel, ce qui veut en fait dire que peu importe ce qui arrive, ce que je pouvais ou pas faire et de qui j'étais et suis, je suis aimée. Et tu sais quoi ? Celui qui m'aime tant t'aime aussi comme si tu étais Son seul enfant, comme si personne d'autre n'existait. Son nom est Dieu, Son pouvoir n'a pas de limite et Il est éternel. En effet, la Bible dit " Mais voici comment Dieu prouve son amour envers nous: alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous " (Romains 5:8, S21). Tu dois te demander ce que la mort de Christ (Jésus) a à voir avec l'amour de qui que ce soit pour toi, alors donne moi une minute de plus 😊 :
C'est comme quand tu étais enfant et que tu allais au parc, marchant et jouant dans la boue avec tes amis et que tu rentrais chez toi avec tes chaussures sales. C'était clairement le moment où un de tes parents te disait "Hé chéri(e) ! Enlève tes chaussures et va te doucher" parce que tu allais salir toute la maison !” Ton péché (le fait que tu désobéisses à Dieu, que tu vives loin de lui) est comme la boue de tes chaussures et tes vêtements que tu ramènes dans la maison toute propre de tes parents. La plus grosse différence, c'est que Dieu est et sera toujours Saint. Tu ne peux pas avoir de la place pour la sainteté et le péché dans ta vie. On en reparlera une autre fois, mais pour l'instant, rappelle-toi que ton péché te sépare de Dieu.
C'est maintenant le moment de la plus grande décision de ta vie, si tu ne l'as pas encore faite. Tu peux, ou non, accepter l'amour de Dieu dans ta vie, Son sacrifice, et choisir de vivre une vie qui L'honorera. Entre toi et moi : je l'ai fait, en 2013 et je ne l'ai jamais regrété. Beaucoup de personnes que je connais, et encore plus que je ne connais pas, pourraient te dire la même chose. Je ne dis pas que c'est facile, je dis simplement que vivre pour et avec Dieu t'aiderea tous les jours de ta vie, dans tous les combats, toutes les situations. Et tu ne le regretteras pas ! Les jours les plus sombres seront suivis de jours plus lumineux. Si tu veux accepter Jésus dans ta vie, tu peux simplement, du plus profond de ton cœur, faire cette prière, ou dire avec tes propres mots :
Rappelle-toi : Dieu t'aime comme un Père, et Il ne veut pas que tu vives quoi que ce soit qui ne Le glorifiera pas. À bientôt, Do 😃 P.S: prends un moment pour écouter ça 😉 |
auteurÀ So What Now? nous avons un ensemble d'auteurs qui nous partagent leur perspective passionnante sur Christ, et leur vie., entre d'autres Do, Little Feet et Eli! Archives
November 2021
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